Ici, point de grandes étendues rectilignes voguant au gré du mistral. C’est la lavande fine, discrète et sauvage, que l’on cueille plus qu’on ne la récolte. C’est celle que les parfumeur grassois ont d’abord choisi pour sa qualité olfactive et que les amateurs d’aromathérapie recherchent pour ses vertues calmantes, apaisantes et cicatrisantes.
A Barrême, on peut s’immerger dans cet univers en visitant la Distillerie, qui s’est transformée en un musée original.
On distille encore parfois la lavande à feu nu
Puis, on prend la route des Hautes-Vallées, où l’on distille encore parfois la lavande à feu nu, entre Tartonne et Thôrame-Haute.
On descend ensuite le long du Verdon dont les eaux turquoises tumultueuses évoquent la Haute-Montagne avant de grimper vers Argens, où la distillerie Bleu d’Argens cultive une lavande parmi les plus hautes qui soient, en bio s’il vous plaît !
Ensuite, c’est un grand classique : Lac de Castillon, Castellane, Gorges du Verdon. La lavande se fait plus discrète. Il faut arpenter les sentiers rocailleux et les alpages pour en apprécier le parfum sauvage.
A Lapalud, c’est le miel de lavande qu’il conviendra de déguster pour prolonger l’expérience d’un séjour bien rempli au pays de la lavande fine du Verdon.
Office de tourisme du Moyen-Verdon – www.verdontourisme.com